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5 erreurs de débutant qui ont la vie dure

 

 

Comme vous le savez certainement, je suis autodidacte. J’ai tout appris tout seul, en lisant beaucoup, en pratiquant beaucoup mais aussi en expérimentant beaucoup.

Et j’ai donc fait beaucoup d’erreurs. Des erreurs de débutant.

Rien de mal à cela, bien au contraire, je trouve justement que la meilleure façon d’apprendre, c’est d’apprendre de ses erreurs.

Simplement, il y a certaines erreurs que j’ai fait pendant longtemps. Pourquoi ? Et bien parce qu’à l’époque, je ne savais pas que c’était des erreurs de débutant…

Tant que personne ne vous le dit, ou bien que vous ne vous en rendiez pas compte par vous-même, vous n’en avez pas forcément conscience.

Bref, faire des erreurs est nécessaire dans le processus d’apprentissage, mais au plus tôt nous identifions ces erreurs de débutant, au plus tôt nous pouvons les corriger, et plus vite nous pouvons progresser.

Alors aujourd’hui, j’ai décidé de vous faire gagner du temps.

À l’époque, j’aurais bien aimé que quelqu’un me dise tout de suite quelles étaient mes plus grosses erreurs. Mais à l’époque, et bien c’était une autre époque…

Pour les plus jeunes d’entre vous, essayez d’imaginer un monde sans internet, sans téléphones portables, sans réseaux sociaux, et surtout sans photographie numérique…bref c’était une autre époque.

Mais à moins de côtoyer un photographe expérimenté, à moins d’avoir suivi des cours de photographie dans une des rares écoles spécialisées, à moins de lire abondamment les magazines de photo et les livres sur la photographie, puis de mettre en pratique ces connaissances, nous n’avions pas d’autres moyens d’apprendre la photographie.

Et tout ça, ça prend du temps, beaucoup de temps.

De plus, je n’avais pas les moyens financiers de m’offrir un appareil Reflex. J’ai donc fait mes premiers pas en photographie avec des appareils compacts.

Avec le recul, je me rends compte que c’est ce qui m’a permis de développer mon regard photographique, ne pouvant me servir de réglages élaborés pour créer des images réussies techniquement.

Ce n’est que plus tard, lorsque j’ai acheté mon premier appareil Reflex, que j’ai rapidement maîtrisé les réglages. Mais j’ai continué à faire ces erreurs de débutant…

Logiquement donc, les erreurs que je vais vous révéler tout de suite ne concernent pas les réglages de l’appareil. Ce ne sont pas des erreurs du style « j’ai longtemps fait des photos floues » ou bien « je n’arrivais pas à exposer correctement mes photos ».

Non, mes erreurs étaient plutôt d’ordre de la composition de l’image, ou bien des fausses croyances qui m’ont limité pendant longtemps.

Bien, à présent, voici 5 erreurs de débutant qui m’ont handicapé pendant longtemps au cours de ma progression.

 

  1. Pas de sujet clair et identifiable rapidement

 

Il y eut un moment où j’étais vraiment satisfait de mes photos. Je pensais qu’elles étaient parfaites, mais aujourd’hui, quand je les regarde à nouveau, je me rends compte de leurs faiblesses.

C’est d’ailleurs un exercice très intéressant à faire, plongez dans vos archives et faites le test.

Je suis certain que vous tomberez sur certaines photos dont vous étiez très fiers et satisfaits lorsque vous les aviez faites, et qui aujourd’hui vous semblent beaucoup moins réussies…

Et pourtant, à l’époque, vous étiez certains d’avoir créé des chefs d’œuvres.

Lorsque j’étudie ces anciennes photographies, je m’aperçois que bien souvent, il manque quelque chose d’essentiel : le sujet.

Trop souvent, il est peut-être là, présent dans la photo, mais on ne le distingue pas suffisamment, il est perdu au milieu d’innombrables distractions et il n’est pas suffisamment mis en évidence. Et donc en valeur.

Le but du jeu consiste à d’abord savoir ce que vous voulez faire comme photo. Je ne dis pas qu’il ne faut pas laisser la place à l’improvisation, non, j’en parle d’ailleurs dans cet article.

Mais en photographie de paysage, il faut aussi visualiser ce que vous voulez faire.

Autrement dit, adopter une démarche créative.

De cette visualisation, vous choisirez les outils dont vous avez besoin pour la réaliser, mais aussi les conditions de lumière et climatiques qu’il vous faut pour aboutir au résultat voulu.

Mais en premier, il faut trouver le sujet. La recherche du sujet est cruciale.

Personnellement, il m’arrive de ne pas faire de photos, ou en tous cas pas de photos sérieuses – juste des esquisses pour une prochaine fois, lorsque je ne trouve pas le sujet qu’il me faut.

Il faut donc bien souvent chercher longtemps, être patient et ne pas se contenter de trouver un ersatz de sujet quand vous ne trouvez pas ce qui convient.

Vous pouvez peut-être trouver ça contraignant, moi je trouve ça excitant. Je suis un peu comme un gamin qui cherche un trésor enfoui quelque part.

Tant que je n’ai pas trouvé mon trésor, ma pépite, je continue de chercher.

Et je trouve qu’ajouter cette étape de chasse au trésor dans le processus de création de l’image rend la démarche encore plus excitante.

Lorsque je trouve enfin ma pépite, c’est une belle récompense et je peux passer à l’étape suivante : la composition de mon image.

Ce qui m’amène à une des autres erreurs de débutant que j’ai longtemps faite…

 

  1. Pas de profondeur dans l’image

 

Le principal problème de mes premières photos dans lesquelles mon sujet était, pour le coup, bien identifiable, c’est que je n’étais pas assez près de lui.

En photographie de paysage, nous nous servons beaucoup de l’objectif grand angle. Parfait pour embrasser la vue grandiose d’un paysage, il n’est pas pour autant si simple que ça à utiliser.

Le problème du grand angle, c’est qu’il permet d’intégrer beaucoup de choses dans son cadre. Quand vous avez trop de distractions dans votre image, vous noyez votre sujet dans une marre de pollution pour l’œil. Et vous vous commettez l’erreur numéro 1.

Mais cette caractéristique qui permet d’avoir un très grand champ de vision, vous fait faire une des autres erreurs de débutant : ne pas faire attention à la taille des éléments dans le cadre.

Plus vous serez loin de votre sujet, plus sa taille sera petite dans votre cadre. Jusque-là, pas de surprise…

Cependant, avec un grand angle, même en étant proche de votre sujet, il sera quand même petit.

Si l’on considère que le champ de vision de votre œil équivaut à peu près au champ de vision d’une focale de 50mm (Full Frame), imaginez une vision à 16mm, voire 10mm…

 

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Vous devez vous approcher de votre sujet. Beaucoup.

Je citerai ici Robert Capa : « Si vos photos ne sont pas assez bonnes, c’est que vous n’êtes pas assez près.« 

Autrement dit, si vous vous posez la question « suis-je suffisamment près de mon sujet pour faire la photo ? », c’est que vous n’êtes pas encore assez près.

Quand vous serez assez près de votre sujet, vous ne vous poserez plus cette question.

Pour s’approcher au plus près de votre sujet, vous ne devez pas hésiter à vous abaisser à son niveau.

Pendant longtemps, j’ai fait mes photos en visant à hauteur d’homme.

Mon premier plan n’était pas assez près de moi, et surtout, il ne me permettait pas d’ajouter cette notion de profondeur dans mon image.

En vous rapprochant de votre sujet, et en vous abaissant à son niveau, vous produirez cet effet de profondeur.

Mais attention, comme toujours en photographie, les règles n’existent pas, à vous de tester et d’expérimenter ce qui marche, et ce qui ne marche pas…

 

  1. Pas de bon matériel

 

Voici une erreur qui a la vie dure.

Tout le monde vous le dit, ce n’est pas du meilleur matériel qui vous fera faire de meilleures photos.

C’est vrai et c’est faux.

En fait, tout dépend de votre niveau, du stade où vous en êtes dans votre progression.

Je vous explique : je vais comparer l’apprentissage de la photographie à un sport que je connais bien, pour l’avoir pratiqué à haut niveau pendant longtemps : le cyclisme.

Mon premier vélo, et bien ce n’était pas un vélo très cher ni très performant. Je l’avais acheté d’occasion, et pour être franc, il n’était même pas tout à fait à ma taille.

Mais c’était mon premier « beau vélo », j’en étais très content. Bien sûr, je rêvais d’avoir un vélo comme les professionnels, qui coutaient plusieurs milliers d’euros. Mais quand je le disais à mon entraîneur de l’époque, il me faisait alors très justement remarquer que, vu mon niveau de débutant, je ne gagnerais pas plus de courses avec un vélo à 5 000 € qu’avec mon vélo actuel.

Et qu’avant de rouler sur un vélo de pros, je devais d’abord faire mes preuves sur mon vélo actuel. Logique.

Même si au fond de moi je le savais très bien, même si je savais que je devais d’abord m’entraîner pour atteindre un meilleur niveau, il y avait toujours une petite voix qui me disait le contraire. « Et si avec un meilleur vélo, je faisais de meilleures performances quand même… ? ». Voilà une des erreurs de débutant classique.

Vous voyez, en photographie, c’est la même chose.

Même si nous le savons, nous ne pouvons pas nous empêcher de croire que malgré tout, un meilleur appareil photo nous fera faire de meilleures photos.

C’est faux. En tous cas, jusqu’à un certain niveau.

Parce qu’il arrive un moment où votre matériel vous limite, voire vous bloque dans votre pratique.

Ce moment, c’est le moment où vous connaissez par cœur votre boitier, vous connaissez toutes les fonctionnalités, tous les boutons, toutes ses possibilités.

C’est le moment où vous pouvez faire des photos quasiment les yeux fermés. Vous le maîtrisez parfaitement.

Lorsque vous avez atteint ce niveau, il est peut-être temps de monter en gamme.

J’ai changé de vélo deux ans après avoir acheté mon premier vélo. Deux années d’entraînements acharnés, j’ai même dû le changer parce que je l’avais épuisé ce vélo…Je l’avais bien malmené.

J’ai eu besoin de le changer avant d’en avoir envie.

Et deux ans plus tard, je participais aux championnats de France. Et là, oui, le poids du vélo à son importance, oui, le nombre de vitesses est important, oui, la qualité des dérailleurs est super importante.

Oui, le matériel est important à ce niveau. Vous pouvez perdre une course pour un bris de chaine ou de dérailleur.

Même si les enjeux ne sont pas pareils en photographie, arrivés à un certain niveau, vous reprendrez votre progression avec du meilleur matériel.

Faites d’abord vos classes sur du matériel d’entrée de gamme, puis progressivement changez d’abord la qualité de vos objectifs.

Avant le boitier, ce sont les objectifs qui sont très importants dans le matériel. Et certains ne coutent pas des fortunes (consultez aussi les occasions) …

Certains conservent leurs cailloux très longtemps, parce qu’ils sont tout simplement excellents ! Pourtant, les boitiers se succèdent, mais pas les objectifs.

Investir dans un très bon objectif est un investissement sûr. Plus que dans un nouveau boitier.

 

  1. Pas la bonne lumière

 

Quand je dis « pas la bonne lumière », je veux dire « pas la bonne lumière qu’il vous faut pour faire la photographie que vous avez en tête ».

Contrairement à ce que vous pouvez lire ici et là, il n’y a pas de bonne ou de mauvaise lumière.

Il y a simplement une lumière qui correspond à ce que vous voulez faire. Dans ce cas, c’est une bonne lumière, peu importe l’heure de la journée.

Certaines photos ne sont possibles qu’à l’heure du midi. D’autres qu’en début ou fin de journée. Vous devez simplement faire attention à trois choses concernant la lumière :

  • Sa direction : de quel côté vient-elle ?
  • Sa quantité : est-elle intense ou pas ?
  • Sa qualité : est-elle douce ou dure ?

Mais une nouvelle fois, il n’y a pas de règles.

En photographie de paysage, nous n’avons pas le choix de la lumière. On prend ce qu’on nous donne. Mais ce n’est pas une raison pour ne pas choisir les moments où faire nos photos.

Par exemple : je voulais faire une photo d’un plant d’oyat, une plante qui pousse dans les dunes de Flandres, près de là où j’habite. J’avais visualisé l’image de telle manière qu’il me fallait des rayons de soleil de début ou de fin journée.

 

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Je voulais une lumière horizontale pour accentuer les micro-contrastes du sable, la texture du sable.

Pas de chance, j’ai dû attendre plusieurs jours que la météo soit favorable pour faire cette photo.

J’ai dû attendre que la lumière soit bonne pour ma photo.

Et ça, je ne le faisais pas avant. Pendant longtemps, quand j’avais une photo en tête, je m’empressais aussitôt de la faire. Comme prévu, j’étais déçu de ma photo, mais sans vraiment savoir pourquoi.

Je m’aperçois avec le recul que je faisais cette erreur de débutant : je ne me laissais pas le temps de réussir la photographie que je voulais faire.

Il faut prendre le temps. En photographie, rien ne presse.

Cela implique de revenir plusieurs fois aux mêmes endroits, d’observer comment se comporte la lumière en fonction de ce que vous voulez photographier (direction, qualité, quantité), et puis d’expérimenter, échouer et recommencer.

Quand on parle de matériel en photographie, on pense toujours à l’appareil photo et ses accessoires, mais selon moi, l’outil le plus important, c’est la lumière.

Vous devez maîtriser la lumière pour réussir vos photos.

 

  1. Sous-estimer le post-traitement

 

Longtemps, j’ai cru que cette phase n’était pas importante.

J’ai longtemps « zappé » la retouche de mes images, parce qu’au début, je ne les retouchais pas du tout, je ne shootais même pas en format RAW.

Puis le jour où j’ai vraiment commencé la photographie numérique, j’ai commencé à retoucher mes photos. Dans Lightroom.

L’avantage de Lightroom, c’est que c’est un logiciel assez simple à utiliser, intuitif et pratique pour organiser son flux de photos.

Mais pour autant, quand j’ai commencé à l’utiliser, je ne savais pas ce qu’il fallait faire, alors je me contentais de corriger la luminosité, rétablir les contrastes mais cela n’allait pas bien loin.

Je ne connaissais pas toutes les possibilités du logiciel. Et elles sont énormes.

Vous savez, c’est comme lorsqu’on utilise Excel ou Word, on pense bien utiliser ces logiciels alors qu’en réalité, nous n’exploitons que 30% de leurs possibilités…

Mais pour exploiter Lightroom à pleine puissance, il faut se former.

Une nouvelle fois, pour maîtriser un outil, il faut apprendre à s’en servir correctement. C’est une erreur de débutant de ne pas se former.

Pourquoi faire autant d’efforts, dépenser autant d’énergie et passer autant de temps à faire la photo pour ensuite bâcler l’avant dernière étape, celle qui représente parfois 50% de l’image finale : le post-traitement ?

Personnellement, je me suis formé, j’ai appris et je passe du temps sur mes photos. Pas toutes, non, seulement celles qui vont orner mon portfolio.

Je peux passer des heures, au bout de la nuit, à retoucher mes photos.

C’est du véritable travail d’orfèvre. Ma prise de vue, c’est ma pierre précieuse brute. Elle sort de terre, elle est sale, elle ne brille pas, on pourrait même la confondre avec du vulgaire quartz.

Mais moi, je sais qu’elle est précieuse, alors je vais la nettoyer, je vais la polir, je vais la tailler pour lui donner l’aspect que je veux.

Je vais la chouchouter, je vais en faire un diamant qui brillera de tous ses feux.

Vous voyez, c’est ça la retouche photo. C’est donner de l’éclat à votre photo. Mais pour en faire un diamant, il faut d’abord qu’elle soit précieuse dès le départ…

Donc faites attention à votre prise de vue parce que vous ne pourrez jamais transformer un morceau de quartz en diamant.

 

Conclusion

 

Des erreurs, j’en ai fait beaucoup, j’en fait encore et j’en ferai toujours. C’est justement ce qui me plaît dans la photographie. Je n’aurai jamais fini d’apprendre, c’est un voyage sans fin.

Ceci étant dit, c’est en apprenant de ses erreurs que l’on peut progresser. C’est aussi de cette manière que l’on mesure le chemin parcouru. Bien évidemment, je ne fais plus ces erreurs de débutant depuis longtemps. Cela ne veut pas dire que suis meilleur qu’un autre photographe. Je suis simplement à un stade plus avancé que d’autres sur le chemin. Comme d’autres sont encore plus avancés que moi sur ce même chemin.

Ce que je veux dire, c’est qu’il ne faut pas se servir des erreurs pour se comparer. Cela n’a pas de sens. Chaque pratiquant n’a pas commencé le chemin au même moment, ni n’avance au même rythme.

Prenez donc le temps. Ne bâclez pas les choses, tout arrivera en temps voulu. Pensez à vous former aussi, avec les ressources dont nous disposons aujourd’hui, il n’a jamais été aussi simple, pratique et accessible de se former.

C’est ce que je vous propose aujourd’hui avec ma formation « Comment exprimer sa vision en photographie« , qui vous enseigne une méthode complète pour vous exprimer à travers des œuvres personnelles, authentiques.

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5 Comments

  • gobois64

    Bonsoir Stef,
    encore un article très sensé de ta part qui nous rappelle que oui les erreurs sont formatrices mais que cela ne dure pas trop longtemps et tes conseils aideront à n’en pas douter. Merci et bonnes fêtes de fin d’année pour toi et les tiens !

    • Stef Kocyla

      Bonsoir Gérard,
      merci beaucoup, franchement, j’ai perdu beaucoup de temps et raté beaucoup de photos à cause de ces erreurs, des photos que je suis pas près de pouvoir faire à nouveau…J’espère vraiment que cela aidera les autres passionnés de photographie à progresser un peu plus vite ! Bon courage pour la tempête chez toi, et je te souhaite de très bonnes fêtes de fin d’année ainsi qu’à tes proches ! À bientôt !

  • Olivier

    Hello Stef,

    Merci pour ces rappels.
    J’en ai perdu quelques unes grâce à ton blog, et quand je ne suis pas trop dans le « moment présent » lors d’une sortie photo, j’ai souvent un petit son dans la tête qui dit « rappelle toi ce que tu as lu sur le blog de Stef ». Notamment d’être prêt de mon premier plan, c’est marrant quasiment à chaque fois je fais 1 ou 2 pas de plus après avoir posé mon trépied.
    Je bute encore un peu sur la mise en valeur du sujet, de mon côté. Ce sujet me semble si évident au moment du shoot et si peu évident parfois quand je regarde ma photo. Mais bon, il y’a du mieux déjà, et les 1ers exos de la formation vont bien m’obliger à me focaliser sur ce point 🙂

    A+

    Olivier

    • Stef Kocyla

      Hello Olivier,
      haha je suis vraiment content que ce que j’écris sur le blog te soit profitable, ça me fait vraiment plaisir ! Oui, se rapprocher du sujet n’est pas toujours évident, non pas parce qu’on ne peut pas le faire, mais plutôt parce qu’on n’estime pas nécessaire de le faire. À mes débuts, je faisais souvent l’exercice de la focale fixe…il a le mérite de te faire bouger beaucoup plus souvent qu’avec un zoom.
      En effet, la formation porte beaucoup sur la mise en valeur du sujet, au moyen de différentes techniques, alors bonne continuation !
      À bientôt !

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